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dimanche 5 juillet 2020

Grotte de Montarquis

Deux jours de grand beau temps annoncé. Je pars dans l'idée de dormir en montagne dans les Bornes. Mais le grand beau temps, là-haut, a eu une bonne demi-journée de retard. Si bien que je me suis retrouvé plusieurs heures dans un bien froid brouillard remontant le vallon. Après avoir battu en retraite deux fois, je décide d'abandonner et de ne pas remonter. Mais ce n'est pas grave, j'ai quand même bien profiter de la journée. 

Première et dernière vue sur la Combe sauvage, avant le tsunami de brouillard
Orchis brûlé d'été
Lys martagon, un peu brûlé aussi

D'abord, de nombreux petits passereaux, avec des juvéniles, des Traquets motteux, des Rougequeues noirs, des Linottes, Chardonnerets, Venturons, etc. Et puis une première pour moi avec le Monticole de roche. 

Pas mieux, tant pis, pour le Monticole de roche
Venturon montagnard
J'imagine : Traquet motteux juvénile
Venturon montagnard juvénile

Là-haut, il y avait une dizaine de Bouquetins, bien tranquilles sauf quand ils se tapent dessus, courant à travers les barres rocheuses. Plus bas, j'en retrouverai, mais cette fois-ci femelles avec cabris, décampant au survol d'un parapente qu'elles doivent prendre pour un aigle gigantesque et donc menaçant. Des Marmottes, peu nombreuses mais joueuses. 

Pas trop d'efforts surtout!
Etagne

Et puis quelques grands volatiles. Une centaine de Vautours fauve (pas vu un seul V. moine) décolle du dortoir en contrebas du Col de la Colombière. C'est assez impressionnant. Un Gypaète passe, à trois reprises au cours de la journée. Avec un piqué matinal tout à fait brusque sur un Vautour fauve (pourquoi lui? lui avait-il volé son peigne?). 

Ombre dans le brouillard
Un piqué sans prévenir sur un V. fauve
Vautour fauve
Gypaète barbu

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