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jeudi 10 octobre 2019

En attendant Grand-Duc

Il ne viendra peut-être jamais. Alors en l'attendant, on s'occupe, comme ce renard qui a déposé un écriteau "prière de ne pas me déranger durant ma sieste", qui ne sert à rien puisque hérons et canards ne savent pas lire. Alors Goupil se lève et part en chasse.

"Prière de ne pas me déranger durant ma sieste"

Il m'offre notamment une première possibilité de le photographier en mulotage. Pas fantastique mais pour une première, on s'en contentera. C'est dommage : avec le reflet dans l'eau, il donnait l'impression de s'attraper lui-même.

Un petit côté Dersou Ouzala
Mulotage contre soi-même
Beaucoup de volatiles, à part ça. Première photo également d'un bécasseau variable, reconnaissable à son bec plus court, notamment, que la bécassine des marais. Mais aussi, un rouge-queue à front blanc. Enfin c'est le défilé quoi. Et on apprend aussi bien en ornitho qu'en photo. Alors, avec ces indications, qui est le bécasseau variable et qui la bécassine des marais ?

Bécasseau variable ou Bécassine des marais
Bécasseau variable ou Bécassine des marais
Rougequeue à front blanc

Je reste jusqu'à la nuit tombée, mais point de Grand-Duc. En revanche, la lumière sur la Croix du Nivolet, d'abord du Soleil, puis de la Lune, font passer le temps. Et à la première chauve-souris, je lève le camp pour aujourd'hui. Après la prospection aux aurores pour les petites chouettes, ça fait une longue journée, heureusement entrecoupée d'un intermède primesautier et revigorant comme seul le pôle emploi en a le secret, mais c'est une autre histoire.

Fin de journée sur la Croix du Nivolet
Début de nuit sur la Croix du Nivolet
A la prochaine

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