Nous sommes de retour devant le Harle piette. Il en vaut la peine. Il risque de rester un peu, puisqu'il semble profiter, avec les Colverts, de l'alimentation fournie par les bipèdes. Profiter est un bien grand mot, on répète qu'il ne faut pas nourrir la faune sauvage...
Quelques photos :
Deux Nettes rousses |